Bon, ce n’est pas une nouveauté, j’adore cette auteure! Je vous avouerai que je lis surtout ses romans fantastiques mais là je me suis laissée tenter par une opération spéciale qui m’a permis d’obtenir ce roman sur ma Kindle pour un prix tout petit!
Voici le résumé:
Le bac en poche, les années lycée et leur lot de terribles souvenirs derrière elle, Violette se réjouit de pouvoir enfin tourner la page. C’est par un déménagement et l’intégration d’une école de graphisme de renom que débute sa nouvelle vie. Artiste dans l’âme, Violette espère se révéler et s’épanouir à Arte-Sup. Or, son bonheur a un prix : Adam, le fils de son nouveau beau-père. Car le jeune homme, aussi ombrageux qu’insaisissable, avec lequel elle va devoir désormais partager un couloir, semble la haïr par-dessus tout. Et lui aussi étudie les arts graphiques au sein de la même formation…
Bon, j’avais lu le résumé mais je n’étais pas plus attirée que ça par l’histoire quand le livre est sorti (ben oui, autant être franche!), j’avais peur de retrouver les éternels clichés, la fille rebelle (et trop jolie), le beau brun ténébreux dont le côté bad boy attire les filles comme un aimant…Heureusement que j’ai sauté le pas après avoir vu pas mal de retours positifs parce qu’on est loin de ce qu’on trouve habituellement, Georgia Caldera, non seulement nous entraîne dans son histoire avec la fluidité habituelle de son écriture mais surtout elle aborde des sujets graves et très actuels.
Sans spoiler, on y parle de manipulation, de violence (physique et psychologique), d’amitié, de réputation dans l’ère 2.0 ou la moindre anecdote en soirée devient publique sur les réseaux sociaux (vous savez quoi, on avait pas ce genre de choses quand j’étais au lycée, j’en suis bien contente en fait avec le recul).
Le titre dans ce sens est intéressant, en effet, « ce qui ne te tue pas… » est censé te rendre plus fort, mais est-ce bien vrai?
Anne Longbridge 
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