Salut à toi, ô lecteur!
Aujourd’hui, retour sur un polar! J’en ai lu énormément dans ma vie mais depuis quelques temps je n’allais plus trop vers ce genre de livres. (Non, les Chattam, ça ne compte pas, quel que soit le style, un Chattam est un Chattam!).
Laurent Scalese est un auteur que j’ai découvert il y a 10 ans déjà dans le cadre d’une séance de dédicaces qui regroupait les auteurs de la Ligue de l’Imaginaire (diantre, ça ne nous rajeunit pas tout ça). Ne connaissant à ce moment là que les livres de Maxime Chattam et Bernard Werber, j’en avais profité pour prendre un livre de chaque auteur présent! Et j’avais donc découvert « la cicatrice du diable » de Laurent. J’avais dévoré ce polar déjà!
10 ans après, cette nouvelle lecture me fait vous affirmer que cet auteur nous offre toujours de l’intrigue solide et des personnages vraiment intéressants, son côté scénariste peut être? Mais place au résumé:
Bienvenue à Lazillac-sur-Mer, dans l’univers du commandant Samuel Moss dont les armes sont le charme, la séduction et l’art du détail : rien ne lui échappe, que ce soit sur une scène de crime ou au quotidien.
Cette histoire débute quand la romancière à succès Jade Grivier est retrouvée morte chez elle, dans son bureau, suicidée. Après avoir inspecté les lieux, à sa façon, Samuel Moss conclut qu’il ne s’agit pas d’un suicide mais d’un homicide, dont il identifie immédiatement le coupable. Le plus compliqué, maintenant, pour Samuel Moss, est de comprendre comment le meurtrier a procédé et de prouver sa culpabilité, avec élégance bien sûr, et surtout sans salir ses nouvelles chaussures sur la plage de Lazillac…
Pas de répit avec cet enquêteur, Laurent nous harponne dès les premières pages et ensuite tout s’enchaîne (productivité lundi soir sur la fin du livre = 0, je ne voulais plus le lâcher!). On découvre un flic efficace mais aux méthodes assez spéciales. Une espèce de Sherlock en fait, tout détail a son importance pour lui et il s’en sert pour avancer, aussi bien de façon professionnelle que personnelle. Il se verra obligé de travailler avec une nouvelle collègue, la fera-t-elle fuir celle là aussi? Finira-t-elle par le supporter? Et surtout, depuis le début il semble avoir trouvé le coupable, comment a-t-il fait?
J’ai vraiment aimé cette lecture et j’ai aimé chercher les références aux titres de ses autres livres que l’écrivain dissémine au long des chapitres! Maintenant il va falloir que je vide assez ma PAL pour me dégager du temps et en fait lire tous ses romans que je n’ai pas encore lu!!!
Anne Longbridge 
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