Juste un câlin pour Noël – Chani Brooks

J’ai succombé le mois passé aux romances de Noël, ce n’est pas étonnant, sur certains points, je suis un bon mouton. Mais j’assume mon côté ovin quand il s’agit de trucs sympas (et non pas de claquettes-moumoutte, là c’est un non négatif).

Bref, on a regardé des téléfilms de Noël plein de mugs de cacao fumant, de filles ne croyant plus à l’amour, de mamies qui parlent de l’amour de leur vie, de garçons qui tombent à point nommé. Il fallait bien que j’assortisse un peu ma lecture! Et à ce moment là, Chani Brooks qui met en avant sa romance de Noël, il ne m’en fallait pas plus pour craquer!

Voici le résumé :

Il sauve votre Noël contre un câlin! Plongez dans une romance de Noël doudou mais pas guimauve, pétillante et addictive.

Nico est une jeune femme qui a du mal à exprimer ce qu’elle ressent. Sa gentillesse bourrue est toujours mal interprétée et elle n’arrive pas à se faire des amis, même dans la dynamique et cosy ville de Montréal. Et ce n’est pas Waël qui lira sous sa carapace, même avec un bonnet à clochettes. Ce Français insouciant qui enchaîne les petits boulots de serveur a pour habitude de dire tout ce qui lui passe par la tête. Comment pourrait-il deviner les pensées profondes de Nico ?
Aussi, lorsque la « malédiction de Noël » frappe Nico et que son neveu chéri décrète qu’il ne veut plus la voir, Nico ne sait pas vers qui se tourner. Elle finit par admettre sa détresse devant Waël. Ça tombe bien, il n’a plus de visa, rêve d’un réveillon de Noël québécois et il a plein d’idées pour reconquérir un garçon de neuf ans.
Quitte à se faire bientôt virer du pays, autant passer Noël à Chante-Neige, entre lacs gelés, sirop d’érable et gentils castors. Avec une femme magnifique.
Et de la neige, beaucoup de neige, et des chiens-loups et des Vikings aussi…
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J’ai franchement bien aimé cette lecture qui m’a accompagnée jusqu’en vacances pour que je la termine, même si Noël était passé! C’était doux et marrant, touchant mais pas niaisant, j’ai trouvé que l’équilibre était parfait, un vrai latte de barista, pile entre l’énergie du café et la douceur du lait (d’avoine pour moi, merci!), c’était sucré pile ce qu’il fallait et, Canada pour décor oblige, ça sentait bon le sirop d’érable!

Je relirai très certainement des livres de cette auteure, j’avais eu l’occasion de la rencontrer à la Japan Expo (oh my god, on est en 2020, il faut donc dire « Japan Expo de L’AN PASSE ») et malgré mon appréhension de l’auto-édition, son sérieux et sa rigueur m’avaient convaincue (je fais de l’urticaire si je lis un livre bourré de fôôtes, demandez à mon médecin, il vous le confirmera) (Ok, je peux faire des fautes dans mes articles certaines fois mais j’écris pas de bouquins!). Son Contrat avec un Geek me fait déjà de l’œil…